Au début des années 1950, les derniers sinagos de pêche et quelques unités déjà armées en plaisance disputent encore leurs régates. Decker, Vannes. N°124 Réservé aux abonnés Un siècle de régates dans le Golfe par Bernard Cadoret, Claude Maho, Gilles Millot, Yann Régent - Nichée au fond du golfe du Morbihan, la presqu’île de... Lire la suite
Chaque année, de 1868 à 1879, Eugène Boudin est venu au Portrieu peindre le paysage, s'attachant surtout à représenter les terre-neuyiers lors des départs ou des retours de campagne. Une soixantaine de toiles' oie ainsi été réalisées, dont celle-ci, datée de 1873. Cette scène peut être comparée à un autre tableau de Boudin (lie retour du terre- neuvier, 1875) ainsi qu'a une photographie de 1878 montrant des mortiers échoues au Portieux , deux documents publiés dans le n° 108 N°123 Réservé aux abonnés A bord d’un terre-neuvier de Saint Brieuc vers 1840 Par Pierre-Romain Désury - Après avoir évoqué la place méconnue de la grande pêche dans les ports de la baie... Lire la suite
Un autre aspect, plus serein et organisé, de l'embarquement à Toulon de l'Armée d'Orient. On remarquera, outre les bâtiments mouillés en rade, les na-vires en chantier ou en radoub, une machine à mâter et, au milieu du bassin, ce qui semble être une machine à curer la vase. N°120 Réservé aux abonnés L’épopée maritime : 1798 l’expédition d’Egypte Par Jean-Marie Homet - Il y a tout juste deux siècles, le 5 mars 1798, le Directoire envoyait Bonaparte en... Lire la suite
Les docks de San Francisco en 1860, gravure de Gustave-Adolphe Chassevent-Bacques (1818-1901). A cette époque déjà, la navigation à vapeur sur les navires à roues se développe pour transporter des passagers d'un port à l'autre de l'immense baie californienne ouverte sur le Pacifique par le Golden Gate. N°119 Réservé aux abonnés San Francisco, 1850-1910 : les matelots shanghaiés Par Bill Pickelhaupt - A San Francisco plus qu'ailleurs, l' enrôlement forcé de marins par les "marchands d' hommes" —... Lire la suite
quarelle de William Joy (1803-1867) re-présentant un "Baltimore clipper" donnant la chasse à un bâtiment anglais. La Junon était cer-tainement fort semblable à cette goélette et elle a sans doute souvent agi ainsi, y compris en en-voyant à l'occasion des pavillons américains, pour approcher puis arraisonner des navires ennemis. (Royal exchange art gallery, Londres.) N°113 Réservé aux abonnés Le corsaire La Junon d’Auray à Saint-Malo : une goélette de Baltimore sur les côtes de Bretagne Par Nicolas Millot - Parmi les nombreux navires armés en course par des investisseurs français durant les guerres du Consulat... Lire la suite
Expédition de La Salle pour la Louisiane en 1684. Huile sur toile de Théodore Gudin (1802-1880). N°112 Réservé aux abonnés Robert Cavalier de La Salle : le Don Quichotte du Mississippi Par Cyril Hofstein - En 1682, le Rouennais Robert Cavelier descend le Mississippi et fonde la Louisiane. Deux ans après,... Lire la suite
Ferdinand Perrot, Vaisseau à roues à aubes en vue de Calais, 1836. Remarquer les passagères dont certaines en coiffe, la grande misaine au tiers ferlée, l'homme de barre et le "portemanteau" à l'extrême arrière. N°107 Réservé aux abonnés Paquebots à voiles et pyroscaphes dans le détroit : Les malles de Calais Par Christian Borde - Aujourd'hui que la Manche se franchit en tunnel, on a peine à imaginer les misères qu'ont... Lire la suite
Le naufrage de l'Ulysses, construit en 1794 et disparu huit ans plus tard. Gouache de Michele F. Cornè. N°106 Réservé aux abonnés Fortunes de mer au XVIIIe siècle : les Nantais sur la route des iles d’Amérique Par Jacques Ducoin - le fait est assez peu courant chez les historiens maritimes est aussi un marin. Au delà... Lire la suite
Vue de la rade de Brest prise au bas de la batterie du château. Datée de l'année même de l'expédition d'Irlande, cette toile de Jean-François Hue (1751-1833) évoque bien l'ambiance d'armement et d'appareillage de l'escadre dans le port du Ponant. On y distingue plusieurs canots et chaloupes de toutes dimensions, à voiles et à avirons (coll. Musée du Louvre, en dépôt au Sénat) N°103 Réservé aux abonnés Histoire du plus ancien bateau français Brest-Bantry : la yole de la Résolue dans l’expédition d’Irlande en 1796 1796 : la France de la Révolution dépêche une armée navale pour soutenir les patriotes irlandais en lutte contre l'Angleterre.... Lire la suite
La planche des gréements (Dm) de l'Architectura Nababs Mercatotia montre vingt-quatre ty es de bateaux et de plans de voilures différents de plusieurs pays d'Europe, et de toutes tailles, de la frégate (n°1) à la yole des pilotes de Stockholm (n 24). Ce document est une photographie de l'édition originale de l'ouvrage de Chapman conservé au Service historique de la Marine de Brest. Bien entendu, les techniques modernes d'impression permettront d'obtenir un fond impeccable et un trait bien noir sur le fac-similé de la réédition de l'ouvrage. Mais quelle poésie dans ces vieux ouvrages surgis du passé... N°102 Réservé aux abonnés Fredrik Henrik af Chapman: Architectura Navalis Mercatoria Considéré comme le plus grand architecte naval du XVIIIe siècle, Fredrik Henrik af Chapman nous a légué l'essentiel de ses... Lire la suite
N°101 Réservé aux abonnés Quand Le Havre rêvait son “port Napoléon’ … La tour François 1 er frappée d’alignement Par Claude et Jacqueline Briot - Les projets d' agrandissements portuaires ont toujours suscité de vives passions. C'est le cas... Lire la suite
Chebec espagnol à voiles latines, courant vent largue. Gravure de Jean JérômeBaugean, publiée en 1814 dans le recueil intitulé Collection de toutes les espèces de bâ-timents de guerre et de bâtiments marchands qui naviguent sur l'Océan et dans la Méditerranée. Ce petit chebec de guerre espagnol rentre au port. Il porte encore toute sa voilure, mais on a déjà pesé sur la mestre dont la surface se trouve fortement réduite, sans doute pour diminuer la vitesse. C'est un chebec to-talement latin, dont la coque répond à tous les critères du type. Il porte en batterie cinq pièces d'artillerie bien visibles, et dispose de quelques pierriers sur la dunette. Les hamacs sont retenus le long du pavois comme sur tout navire de guerre; on distingue deux sabords de nage à chaque entre-sabord, et les rames sont toutes proches, saisies le long de la dunette. L'arrière est en cul de mounine et les dettes se déploient loin au-delà de la poupe. N°96 Réservé aux abonnés Le Chebec : coursier mythique de la Méditerranée Par René Burlet - Pour nous, gens de Méditerranée, l'histoire du chebec c'est aussi celle d'un mythe. Navire insaisissable, entre... Lire la suite