N°202 Réservé aux abonnés Barquette, escute et bacôve du marais audomarois Par Jean-Louis Gaucher - Gérard Colin entre à quatorze ans en apprentissage chez son père. Ce dernier, un fils de... Lire la suite
N°137 Réservé aux abonnés Brunette, un vapeur sur le lot Par Gilles Millot , Rares sont les bateaux propulsés par la vapeur qui naviguent aujourd'hui dans les eaux françaises. Seuls... Lire la suite
N°130 Réservé aux abonnés Reine de cordemais : un canot basse-indrais de plaisance Le rendez-vous a été fixé à Trente-moult. Le village des cap-horniers et des pêcheurs-bargers qui regarde Nantes, sur l'autre rive,... Lire la suite
Le canal de la Robine coule à la porte du domaine de Sainte-Lucie (à droite) où se sont établis les Ateliers de la mémoire. Un paisible lieu d'accostage pour les bateaux en hivernage ou en instance de restauration. Au premier plan, le pointu marseillais N.-D. de la Saiette, sauvé d'un sabordage, au second plan la barque catalane de Banyuls Joséphine, première unité ressuscitée par Yann Pajot, à l'arrière-plan le fileyeur Didier-Mare, un rescapé du plan Mellick. N°122 Réservé aux abonnés Narbonne entre terre et mer : au pays des étangs et des barques Par Xavier Mével - Bages, Sigean, l'Ayrolle : la nature est restée intacte dans cette oasis tapie derrière son cordon... Lire la suite
N°120 Réservé aux abonnés Dans les marais de Seudre Par Gwendal Jaffry - Ancien village fortifié, Mornac est un petit port niché en bordure de la Seudre. Cette immense rivière... Lire la suite
N°114 Réservé aux abonnés Du fleuve à la mer : Claude Beaudouin : Sablier de la basse Loire Par Nicolas Millot - L' extraction et le transport du sable de Loire, florissants depuis le début du siècle, ont... Lire la suite
Lors d'une tempête, le Croisset s'est couché dans la Seine en allant à son poste de lestage. La première phase de redressement est achevée. Le navire est encore gîté à 45 degrés, car les vergues lestées qui ont servi de contrepoids, ont touché le fond du fleuve, et empêchent l'achèvement de l'opération. N°101 Réservé aux abonnés Quand les grands voiliers chaviraient en Seine Par Frédéric David - Les ports, et surtout les ports fluvio-maritimes, sont en principe de véritables refuges pour les hommes... Lire la suite
Diorama représentant diverses phases de la construction des courpets à Spontour vers 1900; composition réalisée par François Beaudouin à partir de cartes postales (voir l'une d'elles ci-dessous), exposée au Musée de la batellerie de Conflans-Ste-Honorine. Le mode de construction de ces bateaux, à la fois frustes et ingénieux, est fort bien décrit dans le livre d'Eusèbe Bombai La Dordogne et ses gabariers (1903). D'abord, le constructeur sélectionne plusieurs arbres au tronc droit et long pour pouvoir débiter des virures d'un seul tenant l'élagage permettant de sélectionner les embranchures pour réaliser les courbes qui feront la charpente du bateau. Sur un chantier de poutrelles (talbet), il cloue le plancher qui sera le fond du bateau, trace le contour de la sole, et coupe le bois en excédent à la hache. On procède alors au relèvement des extrémités à l'aide de crics et de leviers, le bois étant humecté au niveau des points-levants. On pose ensuite les bords, constitués de planches déjà liées entre elles par des barres chevillées (tabalious), les vides laissés au niveau des pointes étant comblés par l'ajout de petites planches (clausous). Les courbes sont ensuite chevillées en quinconce contre la sole et les bords. Les extrémités de la coque sont renforcées par une enfourchure chevillée à l'intérieur de chaque pointe. Le bateau est ensuite dressé sur le flanc pour être calfaté avec un mélange de mousse et d'étoupe. La mise à l'eau peut alors avoir lieu, la coque étant raidie par la pose de barres de renfort. Après avoir été dotée de ses agrès, la gabare pourra être chargée et effectuer sa descente. N°96 Réservé aux abonnés Gabariers de Dordogne Par Jean-René Clergeau - Avant qu'une série de barrages ne vieillie barrer son cours, et que le chemin de fer... Lire la suite
La rutilante Simone II a été restaurée dans son état d'origine et navigue régulièrement sur les rivières où elle a fait le bonheur de la famille Maillaud. N°94 Réservé aux abonnés Simone II, la demoiselle d’Erdre Au début du siècle, alors que la plaisance nantaise a atteint son meilleur niveau avec ses inconditionnels de la régate,... Lire la suite
En plein coeur de Nantes, avant 1890, deux roquios flambant neufs de la Cie de navigation de la basse Loire se croisent dans le bras de l'Hôpital : e n°14, au premier plan, et le n°10 Chantenay; on y remarque notamment le patron perché sur sa timonerie à ciel ouvert. Cette photographie est prise de l'île Gloriette vers le quai de la Fosse et l'extrémité Ouest de l'île Feydeau, surnommée la "Petite Hollande". On y distingue, de gauche à droite : la flèche de l'église Saint-Nicolas, la gare de la Bourse, la Bourse, le pont de la Bourse, le marché couvert flanqué de ses deux cales — la cale aux moules et la cale aux oranges — et le pont Maudit, ainsi nommé en raison de sa propension à l'écroulement. Par ailleurs, il faut bien sûr relever la grande variété des bateaux réunis à cet endroit. Outre les roquios déjà mentionnés, signalons, au premier plan, une série de chalands nantais en bois ou en métal; de l'autre côté du chenal, amarrés au quai de la Fosse, deux chasse-marée, un chaland nantais et une ligne de bateaux-lavoirs, et enfin, à couple des caboteurs, un petit vapeur de service et l'Arsène, un très ancien remorqueur à vapeur à roues à aubes. N°84 Réservé aux abonnés Patrimoine fluvial nantais : Sauver les derniers roquios Il n'y a pas si longtemps, pour passer d'une rive à l'autre de la Loire, les Nantais avaient coutume d'emprunter... Lire la suite
N°84 Réservé aux abonnés La résurrection du Léchalas : A toute vapeur d’Erdre en Loire Par Gilles Millot - Notre patrimoine de bateaux à vapeur — incroyablement pauvre comparé à celui d'autres pays européens —... Lire la suite
Le passeur a installé une chaise à bord de sa lourde embarcation, témoignant ainsi d'un réel souci du confort, du moins pour l'un de ses passagers. On remarque l'utilisation d'avirons à fûts carrés qui prennent appui sur de solides toletières. L'engoujure à l'arrière autorise aussi d'autres types de propulsion, dont la perche. N°59 Réservé aux abonnés Traverser le fleuve : histoire des bacs de Seine, de l’aviron au moteur Par Jean-Pierre Derouard et Gilbert Fromager - Comme tous les fleuves, la Seine est à la fois une voie de... Lire la suite