Sommaire de la revue parue le 20 janvier 2012 :

  • PÊCHEURS DE COQUILLAGES EN PLONGÉE SOUS-MARINE
    par Julien Dubreuil
    Moins agressive que la drague ou le chalut, la pêche en plongée est notamment pratiquée en baie de Saint-Brieuc pour cueillir les ormeaux. Longtemps associée par les pêcheurs français à la fraude ou au braconnage, la pêche professionnelle en plongée sous-marine commence à se faire une place au sein de la profession. Certains l’envisagent même comme une activité d’avenir, dans un secteur bien malmené.

 

  • AU TEMPS DES NEFS
    Le monde maritime évoqué à travers les enluminures illustrant les manuscrits du Moyen Âge, petits chefs-d’œuvre de miniatures représentant des scènes historiques, mythologiques ou bibliques.

 

  • LES KETCHS CABOTEURS DE TASMANIE 
    Par Garry Kerr
    Au temps de la voile au travail, en Australie comme en Nouvelle-Zélande, les bateaux de charge fréquentent des ports souvent situés sur des rivières à l’embouchure encombrée de bancs de sable. Ils ont donc un faible tirant d’eau et une dérive centrale, surtout en Tasmanie où l’on en a compté plusieurs dizaines armés au cabotage. Les derniers acteurs évoquent leur vie quotidienne et la manœuvre de ces «barges» dont les régates étaient très disputées.

 

  • FRANÇOIS JOUAS-POUTREL UNE VIE AUX PHARES
    Par Nathalie Couilloud
    François Jouas-Poutrel a passé 34 ans dans les phares en mer, notamment aux Roches-Douvres, au milieu de la Manche, et aux Sept-Îles, au large de Trégastel. Il s’en est retiré en 2007, sans vraiment jamais en revenir. Ce gardien atypique doublé d’un artiste peintre revient sur son parcours avec un mélange de sagesse et de nostalgie.

 

  • LA BATELLERIE EN BOIS DU LAC D’ANNECY
    par Philippe Grandchamp
    Sur le lac d’Annecy, deux familles d’embarcations en bois, apparues au début du XX° siècle, naviguent toujours : des canots automobiles de promenade et des barques à rames, exclusivement produite par des chantiers navals de la région. Contrairement aux vapeurs qui ont disparu du lac en 1969 (voir CM200), cette flottille de promenade compte encore aujourd’hui quelques dizaines d’unités.

 

  • LE PATIN À VOILE DE BARCELONE
    par Emmanuel van Deth
    Comment un simple ponton de baignade propulsé à la pagaie a-t-il pu devenir un catamaran de course capable de naviguer à plus de 15 nœuds, alors qu’il se pilote sans gouvernails en jouant sur le réglage de la voile et le déplacement de son propre poids ? Voici l’histoire du Patín a Vela, qui figure au musée maritime de Barcelone au titre du patrimoine de la Catalogne, alors que la série est toujours très active sur les plans d’eau en Espagne