par Benjamin Hoffman - Flanquées par le cap de Bonne-Espérance, les eaux poissonneuses de False Bay ont permis à une communauté de pêcheurs d’origines et de religions différentes de se constituer, de vivre et de travailler ensemble, même à l’époque des lois de ségrégation raciale de l’Apartheid. Aujourd’hui encore, les pêcheurs de la baie se retrouvent chaque nuit pour prendre la mer et continuer à faire leur métier, malgré la précarité, la concurrence des grandes flottilles de pêche qui ratissent le poisson au large, et les difficultés administratives. Benjamin Hoffman a vécu à leurs côtés ; il retrace ici leur quotidien.

L’article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d’une iconographie enrichie.