Tout juste lancé et baptisé, Nanook tente une première sortie dans la rivière de Pouldavid, escorté par ses frères kayaks modernes venus assister à la fête. Quatre enfants heureux et fiers de leur réalisation et qui, sans hésiter, partiraient volontiers pour le bout du monde... Mais prudence, ce bateau primitif doit être mené raisonnablement en rivière calme, ou à proximité du rivage ! N°33 Réservé aux abonnés L’Umiak, un jeu d’enfants Vous avez douze ans, vous rêvez d'aventure, pourquoi ne pas vous construire un bateau de bois et de toile. Il... Lire la suite
Zingara (collection J.-F. Régis). Parti de Dartmouth le 11 août 1885, ce magnifique yawl de vingt tonneaux arrive le 4 septembre à Marseille. Deux ans plus tard il gagne la régate du 27 novembre qui se courait autour de l'îlot du Planier. Après avoir appartenu à MM. Emilien Rocca et Gonzague Julien, ce yacht fut acheté par Guy de Maupassant qui le baptisa Bel Ami. (Détail.) N°33 Réservé aux abonnés Le cinquième Roux : les avantages et inconvénients de l’homonymie Par Hubert Poilroux - A côté des grands chemins de la peinture de marine, "Le Chasse-Marée" poursuit son exploration de... Lire la suite
N°33 Réservé aux abonnés La Bandera, de Bretagne en Hollande : Histoire d’une restauration, restauration d’une histoire Comment retrouver le fil d'Ariane reliant une ''vieille coque'' abandonnée à la planche à dessin de Bjarne Aas ? C'est... Lire la suite
N°33 Réservé aux abonnés La Bandera, 6 m JI : Histoire d’une restauration ordinaire Par Jean-Pierre Philippe - La restauration de beaux yachts classiques pour la course ou la croisière devient une urgence tout... Lire la suite
N°33 Réservé aux abonnés Dorissiers du Pays de Rance : La contribution des Terre-Neuvas à l’armement de leur bateau Par Michel Duédal - Sa légèreté, sa maniabilité, ses formes simples propices à l'empilement ont fait du doris l'outil principal... Lire la suite
Départ de régates en Loire dans les années 1880. La photographie est prise du quai de Trentemoult sur la rive gauche, d'aval vers l'amont; aujourd'hui, un tel départ au vent arrière serait plus difficile, les dragages ayant beaucoup augmenté la violence du courant. Au premier plan à droite, reconnaissable à sa marque la Libellule, sloup à quille de 18 pieds construit en 1876 chez Desvaux pour M. Blanchard. A la même époque, sur la rive droite, d'amont en aval : la flotte de commerce nantaise, chalands, caboteurs et trois-mâts long-courriers; au fond, le quai de la Fosse et l'île Mabon. En cette fin de XIX' siècle, le yachting naissant N°32 Réservé aux abonnés Souvenirs de yachting nantais 1858-1908 Par Raoul Guillet - Le Chasse-Marée entame aujourd'hui la publication d'un document exceptionnel : les mémoires d'une grande famille de... Lire la suite
A partir du XVI. siècle, lorsque les grandes puissances maritimes européennes portent leur attention vers le Nouveau Monde et l'Inde, elles ne fréquentent le continent africain que pour y prélever la main-d'oeuvre nécessaire au développement des pays d'outre.Adantique. Il faut attendre le milieu du XIX' siècle, et les débuts de la création de l'empire colonial français, pour que des armateurs envoient régulièrement leurs navires à destination de la côte occidentale d'Afrique. C'est à cette époque, au lendemain de la guerre de 1870, que la Compagnie des Chargeurs réunis est créée. Son siège se trouve à Paris, et son objectif initial est l'acheminement des marchandises vers le Brésil, mais avec l'intention de développer le commerce maritime partout où il s'avérerait nécessaire et lucratif. Six vapeurs sont ainsi commandés, en janvier 1872, aux Forges et chantiers de la Méditerranée. Le pavillon blanc portant les cinq étoiles rouges symbolisant les cinq continents flotte bientôt sur l'Atlantique Sud. Ce n'est qu'en 1859 que les Chargeurs réunis créent une ligne régulière à destination de la côte occidentale d'Afrique (C.G.A.), après avoir obtenu du gouvernement le transport de la poste à partir du Havre. Chaque mois, un paquebot dessert les ports de Bordeaux, Lisbonne, Dakar, Conakry, Cap Palmas, Grand Bassam, Cotonou, Benito, Libreville et Loango. La ligne sera prolongée jusqu'à Matadi au Congo (Zaïre) en 1893. Et, à partir de 1906, un paquebot et un cargo quittent, chaque mois, la métropole à destination des colonies africaines. N°32 Réservé aux abonnés Le pénichien : marinier du Nord de 1850 à 1950 Par Bernard Le Sueur - Entre les rives des canaux du Nord, l'étroit domaine des pénichiens n'appartient qu'à eux seuls.... Lire la suite
Retour de marée, le Snekkar Nordic s'apprête à accoster, les amarres parées à être passées à terre. Par sécurité, l'ancre tribord est dessaisie et peut être mouillée à tout moment. N°32 Réservé aux abonnés Une marée sur le Snekkar Nordic : le surgélateur, chalutier du troisième millénaire Par Serge Lucas - Dans le domaine de la pêche industrielle, la recherche de la plus grande rentabilité entraîne la... Lire la suite
N°32 Réservé aux abonnés Aux îles d’Aran Par Yvon Le Corre - Jaillis de l'admirable "Carnet d'Irlande" qui vient de paraître aux éditions de l'Estran, voici des... Lire la suite
En amont de Pen an Traon, les rives de l'Elom. N°31 Réservé aux abonnés Les Kérézéon : une famille de pêcheurs kerhorres – L’Histoire, celle de tous ou celle de chacun ? Par Jean Dréo - La première est en principe bien connue, mais parce que l'historien garde une distance, ne considère... Lire la suite
Départ de la Vogalonga de 1978, vue du campanile de l'île San Giorgio (photo archives G.-F. Zerella-Venise). N°31 Réservé aux abonnés La Vogalonga : la fête nautique des Vénitiens par Antonio Mauro, photos de Michel Thersiquel - Venise, gigantesque vaisseau de pierre mouillé dans un archipel, tire sa raison... Lire la suite
Giuseppe Carli, il maestro. N°31 Réservé aux abonnés Forcole, remi e voga Les "squeri" (chantiers) de la lagune, de Burano, de Pellestrina, qui construisent toutes sortes de bateaux de travail ou de... Lire la suite