Sommaire de la revue parue en mars 1994 :

  • UNE FORGE DE MARINE A CAMARET
    Bien que le poste à soudre ait presque relégué l’enclume au rayon des antiquités, la Forge marine de l’Iroise a conservé son outillage traditionnel, jadis utilisé pour réaliser sur mesure les ferrements des sloups et dundées de pêche; il lui arrive encore parfais de rallumer ses foyers, en particuliers pour les besoins de certains bateaux du patrimoine.

 

  • LES DERNIERS POINTUS DE RAPHAËL AUTIERO
    par Bernard Vigne
    Le Saint-Aygulf et le Ville-de-Fréjus sont un peu le testament de Raphaël Autiéro. par chance, l’association Voiles Latines a recueilli les confidences de ce charpentiers d’origine italienne aujourd’hui disparu, contribuant ainsi à sauver de l’oubli une ancienne technique de construction méditerranéenne dont il était l’un des derniers dépositaires.

 

  • LA COURSE DES CLIPPERS DU THE
    Après une présentation du contexte maritime et économique qui, au milieu du XIXè siècle, a conduit à la construction de navires rapides destinés au transport du thé de Chine, le récit palpitant de la grande course de 1866 qui opposa  comme chaque année les meilleurs clippers britanniques du moment.

 

  • LE DERNIER BALEINIER DE BEQUIA
    pour Paul Adamthwaite
    Dans cette petit île des Grenadines, il reste encore un chasseur de baleine pratiquant son métier comme au temps de Melville, avec un harpon à main et à bord d’une baleinière « à deux proues », embarcation locale d’inspiration américaine dont l’usage perdure surtout grâce au succès des régates annuelles.

 

  • DU BON USAGE DES CANOTS VOILE-AVIRON
    par François Vivier
    Architecte naval, auteur de nombreux plans diffusés par Le Chasse-Marée, François Vivier est aussi un constructeur « amateur » et un adepte de la voile-aviron. En évoquant ses bateaux personnels et les plaisirs qu’ils lui ont procurés il nous dit sa manière éclairée de naviguer autrement.