Une des premières boîtes de thon de la marque, ornée du dessin esquissé par Marguerite Paulet. En bas : une des enseignes de l’entreprise. © coll. Ets Paulet et port-musée, Douarnenez N°263 Réservé aux abonnés La saga Petit Navire Par Jacques Blanken* - Revendiquant le « bon goût du large », la conserverie Paulet-Petit Navire est ancrée à Douarnenez depuis plus de... Lire la suite
La chaîne de l’usine Chancerelle en avril 2003. En dépit de la technologie moderne, la conserverie traditionnelle emploie toujours une nombreuse main-d’œuvre, essentiellement féminine. Page précédente : dans la stratégie visant à donner des sardines “maison” une image de qualité, la décoration des boîtes n’est pas négligée ; sur celle-ci est reproduit un tableau peint en 1900 par Alex Masson, conservé au musée du Bateau de Douarnenez. © Francis Holveck N°162 Réservé aux abonnés Wenceslas Chancerelle, 150 ans de conserve Par Gwendal Jaffry - Quand, en 1828, Laurent et Robert Chancerelle fondent leur société à Nantes, ils sont certainement loin... Lire la suite
Démaillage à bord de la barque Hérisson. A l'époque, les saleurs vont acheter sur le quai la pêche de la nuit car seul l'anchois bien frais peut être salé. N°124 Réservé aux abonnés L’anchois de Collioure Par Xavier Mével - Au temps des barques catalanes, l'anchois se pêche surtout à Banyuls, mais il se sale principalement... Lire la suite
La tradition est la meilleure image de marque de l'entreprise. Avant d'être mises en boîtes sur la grande table de l'atelier, les sardines sont saumurées écaillées, étripées, étêtées, triées, rincées, séchées au soleil et cuites dans un bain d'huile. N°58 Réservé aux abonnés Les Mouettes d’Arvor : une conserverie traditionnelle à Concarneau Par Cristhine Le Portal - La pêche et la transformation de la sardine ont été de longue date la grande... Lire la suite
N°58 Réservé aux abonnés Le pilchard de Cornouailles : une survivance de la sardine pressée Par Roger Holmes - On presse encore la sardine aujourd'hui : qui le savait ? Alors que cette activité vieille... Lire la suite
Le sorineur — nom donné autrefois à celui qui contrôlait la totalité des opérations de salage, rinçage, égouttage, fumage —, ici Paul Tintillier, entretient les feux d'une corresse traditionnelle. Les plaques métalliques peuvent être baissées en fonction du tirage de la cheminée. En hiver, on adjoint des bûches aux copeaux, pour chauffer les murs et ainsi améliorer le tirage. On est ici dans un sous-sol, les racs sont disposés au-dessus, à l'entresol. N°44 Réservé aux abonnés La saurisserie boulonnaise “A chacun sin pain et s’n’hérin” Par François Guennoc, Bertrand Louf - Les rares voitures qui stationnent le dimanche dans les rues désertées de Capécure, le quartier... Lire la suite