C’est avec une dizaine de degrés de gîte que la carène d’un scow est optimale (ci-dessus). Sur le Kaori, point de petite corne « à la mode » sur la grand-voile… malcommode au moment d’amener, et qui fait monter le centre de voilure : avec un ratio de 40 mètres carrés de voilure par tonne de déplacement, le Kaori est déjà bien toilé. © MÉLANIE JOUBERT
© Mélanie Joubert

Par Gwendal Jaffry - Dans ce projet, tout est singulier… Ses formes, d’abord, car si les scows ont reconquis nos plans d’eau depuis une dizaine d’années maintenant, on n’avait pas encore vu, dans la famille, de petit croiseur transportable aussi maîtrisé. La démarche environnementale qui a guidé sa construction aussi, ouvrant la voie à une vraie réflexion pour la plaisance de demain. Gildas Plessis, architecte, et Flavien Gaulard, constructeur, nous ont tout dit de ce projet aussi affûté qu’un katana…

L'article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d'une iconographie enrichie