© J. G. AUBERT/ARC’ANTIQUE
Au terme de la première phase du traitement électrolytique de ce canon provenant des parages de l'île de Batz, Gilles Baron, responsable du patrimoine sous-marin au laboratoire Arc'Antique, peut dégager la pièce de sa gangue. © J.G. Aubert/Arc'Antique

Par Jacques van Geen  - Au sein du laboratoire Arc’Antique, à Nantes, sont traitées les plus grandes pièces métalliques relevées des épaves englouties. Pendant des mois, parfois des années, canons, ancres et autres cloches baignent ici dans de grands bacs remplis d’électrolytes à la surface desquels une bulle, ici ou là, éclate de temps à autre… Ces objets aussi massifs que précieux sont ici restaurés pour être présentés au public. Gilles Baron, responsable du patrimoine sous-marin, a bien voulu nous guider dans ses ateliers.

L'article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d'une iconographie enrichie