N°27 Réservé aux abonnés Les risques du métier : déboires d’un pieds-lourds Par Gilles Malot - L'avènement du scaphandre autonome a laissé intactes la curiosité et la sympathie suscitées par les étranges... Lire la suite
Sur certains bateaux, l'automatisation est totale, depuis le boënage des 14 000 hameçons jusqu'à la remontée du poisson à bord, qui se fait comme sur un tapis roulant ! Mais ne nous y trompons pas : si les conditions de travail sont meilleures, la palangre reste un dur métier. N°27 Réservé aux abonnés Le chien de mer de la mer du Nord aux poissonneries d’Italie Par Serge Lucas - Etrange destin que celui du chien de mer. Méprisé par les consommateurs français, il est très... Lire la suite
Voile et aviron en famille sur un oselvar. Impression de calme, d'élégance, de déplacement aisé et rapide. Remarquer la position bien centrale de l'équipage, autorisée par la longueur de la barre articulée. A l'arrière-plan, une roche peinte en blanc marque le chenal de l'Odet pour les caboteurs. N°27 Réservé aux abonnés Naviguer autrement – Canots voile-aviron : la redécouverte du plaisir de l’eau Depuis quelques années, un nouveau style de plaisance fait son apparition en France, après s'être imposé aux Etats-Unis : la... Lire la suite
Avant le tournage des Révoltés du Bounty de Milestone, en 1962, le bateau, non encore gréé, est à l'abri sous un hangar. On mesure l'importance du décor quand il s'agit de travailler en grandeur réelle. N°27 Réservé aux abonnés Le cinéma et la mer : II – Du studio au grand large Par Jean-Pierre Berthomé - Documentaires ou fictions, plus d'une centaine de films jalonnent la rencontre entre le cinéma et la... Lire la suite
L'entrée du port de Castletown, ancienne capitale de l'île de Man, à basse mer. Le grand bâtiment de quatre étages à la façade couverte d'ardoises, sur la droite, est l'ancienne maison de George Quayle (Bridge House), qui abrite aujourd'hui le Manx Nautical Museum. N°27 Réservé aux abonnés Les fantômes de la mer d’Irlande : histoire et redécouverte des deux plus vieux yachts du monde Par W.M. Nixon - Pendant l'été 1796, deux petits yachts s'affrontent en régate sur le lac Windermere, aux marches de... Lire la suite
Condor, le Maxi dessiné par Ron Holland pour Bob Berl, au départ du SORC. N°26 Réservé aux abonnés Les Maxis : conception et manœuvre d’un yacht de course contemporain Par Hubert Poilroux - Une définition : on appelle "Maxis" les monocoques dont le rating frôle ou atteint les 70... Lire la suite
L'univers des boucholeurs : l'estran qu'ils ont peu à peu investi. N°26 Réservé aux abonnés Au pays des boucholeurs : la culture des moules dans le Pertuis Breton Par Yves Gaubert - La culture des moules sur bouchots est un type d'élevage bien spécifique. S'il est pratiqué actuellement... Lire la suite
A Caumont, deux gribanes des carrières de M. Lamy sont échouées sur le grill de carénage. Les travaux d'endiguement de la basse Seine, auxquels participaient activement les gribanes de M. Lamy, étaient particulièrement éprouvants pour le bordé et plus généralement pour les structures des bateaux. Il fallait souvent réparer les coques, d'où l'acquisition par M. Lamy d'un grill permettant des interventions sur ses bateaux. Au premier plan, une embarcation de service dont on peut observer l'aménagement intérieur : c'est la nacelle du Raymond-Louise, gribane construite en 1883 à La Mailleraye, jaugeant 50 tonneaux, patronnée alors par M. Fessard. On remarquera sur ce bateau les détails du gouvernail, le système de treuil à manivelle, le guindeau permettant la manoeuvre des ancres et du mât. Il semble que seule cette gribane ait été munie d'un mât rabattable; celui-ci est fixé entre deux jumelles, bloqué par deux tasseaux et s'abat sur l'arrière. Il est maintenu en position verticale par une cheville munie d'une poignée. On remarquera la coupée d'accès au bateau. Au second plan, le Saint-Louis, gribane de 57 tonneaux, construite en 1886 également à La Mailleraye. Son gouvernail est différent de celui du Raymond-Louise. Le Saint-Louis a conservé ses voiles, on distingue le foc affalé sur le pont et la grand voile ferlée sur la bôme et la corne. (Collection D. Goudenhooft). N°26 Réservé aux abonnés La gribane de basse Seine Par Benoît Morel, Le monde des bateliers de la basse Seine, bien moins connu que celui des pêcheurs, a peu... Lire la suite
La gribane Enfant de France chargée de bois quitte le port de Caudebec, où est encore ancré le Gloire au Cœur de Jésus, dundée du Crotoy racheté et gréé en cotre par M. Prévost. Cette photographie nous révèle de nombreux aspects de la vie de Seine; on y distingue, en plus des deux bateaux, le bac et une embarcation de pêcheur de Seine. L'enfant de France est alors dirigé par M. Duchemin qu'on aperçoit sur son chargement, saisissant un hauban du bout-dehors du Gloire au Cœur de Jésus. On distingue également son matelot occupé à la manœuvre des voiles ou à celle de l'ancre au guindeau. Le bateau est chargé de madriers et de fagots. Sur les quais, des tronçons d'arbres attendent leur chargement. On distingue également une rasière en osier, récipient servant de mesure tant pour les pommes que pour les moules. (Collection B. Motel). N°26 Réservé aux abonnés Une vie au bornage en basse Seine : Souvenirs de Prudent Prévost Pour le bornage sur l'estuaire de la Seine, la gribane pourtant parfaitement adaptée à sa fonction est concurrencée par d'autres... Lire la suite
Sully, capitaine Chapon, coup de vent du 7 décembre 1885. Huile sur toile, 92 x 61, signée Ed. Adam 1885 Havre. Le Sully était un trois-mâts barque en bois de 378 tonneaux, construit à La Mailleraye (sur la Seine), en 1869 par L. Lefranc, pour l'armateur H. Auger aîné du Havre. Les chantiers de La Mailleraye, avec ceux de Honfleur, fournissaient au 19° siècle beaucoup de navires aux armateurs du Havre, jusqu'à l'avènement de la construction fer puis acier. L'armateur Laurent Honoré Auger aîné, fonda sa maison en 1858. En 1884, H. Auger aîné était le plus gros armateur de voiliers havrais,(juste avant A. Postel et fils) avec 27 navires à voiles (25 trois-mâts, 1 quatre-mâts et 1 brick). Le coup de vent commémoré par cette toile de Adam eut lieu onze jours avant son entrée au Havre, probablement entre les Açores et les atterrages de la Manche. Ce navire fut naufragé en avril 1891 sous le commandant Sire. Le capitaine au long cours Chapon appartenait à une famille de la région de Granville. A sa mort, son fils hérita du tableau qui depuis, n'est jamais passé dans le circuit commercial. N°25 Réservé aux abonnés Peintres et dessinateurs de marine havrais par Jean-Pierre Robichon - Dans le numéro 23 du "Chasse-Marée", Jean-Pierre Robichon nous avait présenté le genre méconnu du portrait... Lire la suite
A virer l'ancre au cabestan sur un grand voilier anglais. Un abondant répertoire de chansons permet aux matelots d'avoir du cœur à l'ouvrage pendant la manœuvre, qui peut durer plusieurs heures. N°25 Réservé aux abonnés Chants de marins : La redécouverte du répertoire français Par Herman Melville - Longtemps les amateurs de chansons maritimes ont eu comme seule référence le magnifique répertoire des shanties... Lire la suite
Le Circular Quay de Sidney. Un nom connu de tous les matelots long-courriers dans le monde. N°25 Réservé aux abonnés Un voyage sur l’Emile Renouf : le retour par le Cap-Horn Par Maurice Scouezec - La première partie de ce réxit , illustré d'aquarelles de l'auteur, a été publiée dans Le... Lire la suite