Sommaire de la revue parue en juin 1994 :

  • LES CENT ANS DE MARIE-FERNAND
    Les Havrais pensaient que Jolie Brise était le dernier survivant de leur flottille de cotres pilotes. Mais il en existait un second outre-Manche. Marie-Fernand avait émigré en Angleterre en 1922, vingt-huit ans après son lancement. Découvert à Salcombe en 1984 par l’association Hirondelle de la Manche, il est ramené au Havre l’année suivante pour y être restauré.

 

  • LES DERNIERS GRANDS VOILIERS DE COMMERCE, P. I
    Parmi les voiliers qui offrent aujourd’hui le majestueux spectacle de leurs manœuvres, rares sont les authentiques navires marchands, la plupart des bâtiments à traits carrés étant des navires-école conçus pour cet usage. Le premier volet de cet inventaire présente les derniers long-courriers en acier (1886-1926) existant dans le monde.

 

  • MARIA ASUMPTA, BRICK DE CABOTAGE
    Mark Lichtfield cherchait un trois-mâts pour le cinéma. À Majorque, il découvre un ponton servant d’entrepôt de bidons d’huile, qui n’est autre que la coque d’un brick catalan construit au milieu du siècle dernier. Il le fait restaurer et regréer à Gibraltar. Le projet de film tombe à l’eau, mais Maria Asumpta reprend la mer. L’auteur nous raconte sa longue histoire et nous dit l’art, la manière et le plaisir de manœuvrer à l’ancienne un tel bâtiment.

 

  • A BORD D’UN DUNDEE THONIER GROISILLON
    Le 8 août 1929, une jeune femme se fait enrôler dans l’équipage d’un dundée de l’île de Groix pour une marée de thon. Elle en rapporte un reportage tout à la fois précis, sensible et distancié qui constitue un témoignage très vivant sur la vie quotidienne des pêcheurs au temps de la voile.