Sommaire de la revue parue en mars 1989 :

  • LA PÊCHE A LA COQUILLE EN BAIE DE SAINT-BRIEUC
    par Charles Josse
    Qu’ils soient d’un port de l’est de la baie, tous les marins-pêcheurs ont le même but : arracher au fond le maximum de coquilles pendant la durée très limitée de la campagne. Cet articles décrit les méthodes de pêche et la commercialisation du mollusque, mais aussi la lutte contre le braconnage et les efforts déployés pour assurer la survie du gisement.

 

  • CHANSONS DE CABESTAN
    Autour des guindeaux et des cabestans, l’huile de coude a parfois besoin d’un supplément d’âme. Rien de tel qu’une chanson bien scandée pour peser en cadence sur les barres d’anspect ou les brinquebales. Le chant de travail n’a jamais si bien porté son nom que sur le pont des navires où l’effort à fournir prête moins aux trilles qu’aux ahans.

  • LES MOURRES DE POUAR DU GRAU-DU-ROI
    par Bernard Vigne
    Ultime représentant des bateaux à éperon méditerranéens dont il n’a conservé qu’un appendice symbolique, le mourre de pouar a partout disparu, sauf au Grau-du-Roi où la dernière unité naviguait encore voici quelques années. Présenté dans son contexte géographique et humain, ce bateau est aussi évoqué à travers les différentes pêches qu’il pratiquait.

  • LE CORSAIRE DE L’EMPEREUR
    par Alain Dunoyer de Segonzac
    Connu dans le monde entier pour avoir coulé force navires ennemis à bord d’un trois-mâts armé en 1917 pour la guerre de course, le comte Félix von Luckner n’est pas seulement ce chevalier des mers sans peur et sans reproche. Fugueur, chenapan, saltimbanque, flibuster, naufragé, prisonnier, évadé… sa vie est un roman d’aventures.