N°83 Réservé aux abonnés Quand Rochefort redécouvre son patrimoine Par Yves Gaubert - Vers 1960, Rochefort est une ville "insalubre, triste et pauvre". L'arsenal qui fut son premier employeur;... Lire la suite
Quels navires, mieux que le Renard et la Recouvrance, pouvaient-ils mettre en valeur la noble architecture militaire qui veille sur l'entrée de la rivière de Morlaix ? Faisant force de toile malgré l'exiguïté du plan d'eau, ce cotre et cette goélette de guerre à la silhouette majestueuse n'ont pas manqué d'évoquer le temps des corsaires, autrefois si nombreux dans cette baie... Et si Morlaix, alliée à Roscoff, reconstruisait un jour un petit lougre corsaire ? N°83 Réservé aux abonnés Un monument, deux sites, trois flotilles : le patrimoine maritime charentais en fêtes Au cours des siècles passés, de nombreux choix stratégiques et politiques, relatifs à la défense des abords de Brouage, Rochefort... Lire la suite
L'île de Houat, granitique et très découpée, vue par l'Ouest. On voit au premier plan et de gauche à droite de la photo, la pointe Beg er Vachif (proche du passage du Béniguet), l'île Guric et l'île Séniz. A l'arrière-plan, on distingue les maisons du bourg et le port Saint-Gildas. N°82 Réservé aux abonnés Houat, l’île des pécheurs Par Serge Lucas - Fermant le Sud-Ouest de la baie de Quiberon, avec Hoedic sa voisine et un chapele de récifs... Lire la suite
Ce document est un saisissant résumé des activités du port de cabotage au siècle dernier. Le môle dont on distingue deux arcades la première est déjà condamnée , abrite plusieurs bateaux de charge : un sloup et un dundée à l'échouage, un sloup et une unité plus importante (goélette ou dundée) venus à quai charger des sacs de blé ou de patates. Le chargement du grand caboteur se fait par une gouttière, ici appelée dalle mais sa corne de charge semble également en action, celui du sloup directement par la grève où une charrette est venue l'accoster. En outre, la voie ferrée, la grue et les tas de pierres sur le terre-plein du môle trahissent la présence des carrières. N°82 Réservé aux abonnés Le port d’Erquy au temps des carrières Par Jean-Pierre Le Gal la Salle et Roland Blouin - L'image actuelle de ce port coquillier de la baie de... Lire la suite
Cette huile sur toile peinte par Louis Garneray dans les années 1820 représente une vue bien particulière du port de Caen. En effet, l'artiste tourne le dos à l'agglomération et au port historique situé sur l'Odon; il regarde vers l'amont et nous montre le quai de Vaucelles nouvellement érigé sur la rive gauche de l'Orne. La scène n'en est pas moins très animée et elle illustre les différents trafics dont le port était le théâtre durant la Restauration : passagers attendant le départ de la goélette du Havre, dont le gréement est soigneusement détaillé, tonneaux de cidre ou d'huile, sacs de grains qu'un débardeur mène au pesage... A cette époque les manutentions se font encore à dos d'hommes, les portefaix empruntant une simple planche de débarquement comme celle que l'on voit à l'extrême gauche du tableau. (Ccip) N°80 Réservé aux abonnés Le port de Caen et ses navires : Histoire de la “Navale caennaise” A travers l'évocation d'une compagnie maritime normande, cet article brosse le portrait d'un centre de cabotage bien représentatif de l'ensemble... Lire la suite
Fabrication d'une ferrure destinée au haubanage du bout-dehors de la goélette Recouvrante, dans la forge camarétoise : une première fois chauffée à blanc en deux endroits voisins, l'extrémité d'une grosse barre de fer a été refoulée pour en augmenter le diamètre. Subissant une nouvelle chaude, la barre est prestement sortie du foyer et posée, sur l'enclume. Très vite — car plus le fer est chaud, mieux il se travaille —, Louis Lucas va frapper de son lourd marteau la partie en question pour former un méplat. Les deux renflements seront ultérieurement aplatis au marteau-pilon, puis percés à chaud au poinçon et au mandrin pour former les orifices de passage des haubans. Une pièce de ce type sera fixée de chaque bord sur les bossoirs d'ancres. Le long du mur de l'atelier sont suspendues une vingtaine de pinces faites sur mesure selon les besoins des forgerons, pour saisir de toutes les façons possibles des barres de sections variées. N°79 Réservé aux abonnés Une forge marine à Camaret Si le chanvre et le bois sont par excellence les matériaux du bateau traditionnel, on ne doit pas oublier que... Lire la suite
Au premier plan, un brick-goélette; derrière, un entrelacs de mâts et de vergues. Le Vieux-Port est encore en 1913 bien proche de la description qu'en faisait Alphonse Daudet soixante ans plus tôt. N°78 Réservé aux abonnés Marseille au soir de la voile D'après les souvenirs de Laurent Damonte - Quand Alphonse Daudet décrit le port de Marseille et son fouillis de mâts... Lire la suite
N°78 Réservé aux abonnés Le Musée du Pêcheur de Bermeo Par Marc Larrarte - La tour fortifiée d'Ercilla ressemble au château d'un navire, dominant le plan d'eau du Puerto Chico... Lire la suite
A gauche - Le port d'Argenton (Por ar Chantel) aux environs de 1885. Bien abrité des tempêtes de Sud-Ouest par l'imposante masse d'Enez Olvez (à gauche), ce havre était le cadre de multiples activités maritimes, comme en témoigne cette photographie. Un brick de cabotage d'allure archaïque est venu décharger sa cargaison de charbon du Pays de Galles. De forts sloups de pêche à brion carré — toujours amarrés sur leurs poteaux (arpikijou), les corps-morts n'existant pas encore — côtoient les petits canots des goémoniers. A droite, on distingue l'ancien corps de garde, alors occupé par les douaniers, ainsi que les cabanes de chantier du service des Phares et balises, installées en 1869 pour l'érection du phare du Four que l'on aperçoit à l'horizon et qui sera allumé en 1873. N°76 Réservé aux abonnés Recueillir les noms de la côte : l’identité du bas Léon restituée par la toponymie Par Per Pondaven et Yann Riou - Il fut un temps, guère lointain, ou chaque grève, chaque rocher remarquable avait... Lire la suite
Cette superbe et mélancolique photographie du port de la Pointe et de l'anse du Driasker peut être datée entre 1886 — les tilleuls de la promenade viennent d'être plantés — et 1895 — le bastion Saint-Pierre d'où elle est prise n'est pas encore démoli. C'est l'été, en fin de matinée. Quelques chaloupes sont restées au port, l'activité semble réduite. La promenade plantée a remplacé une rangée presque continue de maisons qui donnaient directement sur la grève : partielle-ment reconstruit, le rempart est demeuré vertical le long de ces "deux cents toises de maisons", entre la Porte Rouge et la Porte de la Pointe. Trente ans plus tard, la poussée des terres obligera à rapporter des contreforts. Les portes des caves voûtées ouvrant sur la grève, murées car devenues inutiles après la décadence du cabotage, ne sont plus perceptibles. Par contre, on distingue sur la rue de la Pointe les principaux types de maisons, qui se sont raréfiées depuis : plusieurs maisons du XVIe siècle en pierre de taille et plusieurs "maisons espagnoles" encore couvertes en tuile de Bordeaux, ardoise ou chaume. N°75 Réservé aux abonnés Le Port-Louis : portrait du port et de la ville vers 1765 Par Gérard Dieul - Reconstituer par le dessin, en s'appuyant sur les archives et les vestiges d'un patrimoine mutilé, l'image... Lire la suite
Vue d'ensemble des travaux en cours en amont de l'écluse de La Martinière, le 29 novembre 1891. Ce document est dû au photographe Etienne Pinard, qui, à la demande de l'ingénieur Joly, a réalisé un reportage complet sur la construction du canal, de 1884 à 1892. Cent quatre-vingts clichés sont parvenus jusqu'à nous et constituent un témoignage inestimable sur ce grand chantier du siècle der-nier. (Archives départementales de Loire-Atlantique). N°71 Réservé aux abonnés Le canal maritime de la Basse-Loire Par Anne Vauthier-Vézier - Le canal maritime de la Basse-Loire, connu aussi sous le nom de canal de La Martinière,... Lire la suite
N°68 Dans les phares du raz de Sein : la solitude des gardiens Par Noël Le Hénaff - Après nous avoir conté l'épopée de la construction des phares du raz de Sein (Le... Lire la suite