Les pêcheurs à pied de la Ville Ger quittent les bords de la Rance après y avoir prélevé leur quota journalier de palourdes, fixé à 70 kilos. Pour faire évoluer ce métier, Alain Thomas (à gauche sur la photo) s’est investi dans les structures professionnelles. Il est actuellement vice-président de la commission pêche à pied au Comité national des pêches et des élevages marins. ©Philippe Urvois

Par Philippe Urvois - Il a fallu attendre le début du XXIe siècle pour que soit encadrée et reconnue comme un métier l’une des plus anciennes activités maritimes : la pêche à pied. Environ mille trois cents personnes exercent aujourd’hui cette profession, comme les pêcheurs de palourdes de la Rance, à cheval entre les Côtes-d’Armor et l’Ille-et-Vilaine.

L'article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d'une iconographie enrichie.