Matelot (1893) raconte la courte existence de Jean Berny, orphelin de père, engagé dans la Marine d’État comme simple matelot. Il connaît la vie du large et les vastes horizons, mais contracte la fièvre en Extrême-Orient quand la Saône met le cap sur Brest. Ce roman très noir, où Pierre Loti met en scène ses propres angoisses, se lit aussi comme un hommage aux équipages de la Royale et à « l’infini cercle bleu de la mer ».
L'article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d'une iconographie enrichie.
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