Sommaire de la revue parue en février 2002 :

  • UNE NOUVELLE ROBE EN CUIVRE POUR LA BELLE POULE

 

  • LE DOUBLAGE EN CUIVRE DES TERRES-NEUVIERS A SAINT-MALO
    Le doublage en cuivre des carènes était l’une des spécialités des calfats malouins. Jean Le Bot a recueilli le témoignage du constructeur Louis Lemarchand, qui lui a montré, à l’aide d’une maquette, la manière dont on habillait les œuvres vives des terre-neuviers. De son côté, Thierry Babey a assisté au doublage de la Belle Poule à l’arsenal de Brest.
  • NAN, UN COTRE FIFE POUR REMONTER LE TEMPS
    En surfant sur la Toile, Philippe Menhinick a retrouvé le yacht de son grand-père. Une enquête révélera qu’il s’agit d’un cotre lancé par William Fife en 1897. Il n’en fallait pas davantage pour que le petit-fils décide de l’acheter et de le remettre dans son état d’origine ; une entreprise à laquelle les deux auteurs de cet article seront intimement mêlés.

 

  • LES PILOTES SAUVETEURS DE CALAIS
    Au temps de la voile, l’accès au port de Calais était si dangereux que nombre de navires y faisaient naufrage en voulant s’y abriter. Aussi, avant la mise en place d’un service de sauvetage spécifique, les pilotes étaient-ils souvent amenés à se porter au secours des bâtiments en détresse, l’appât du gain n’étant d’ailleurs pas toujours étranger à ces interventions.

 

  • LA MATTANZA, CAPTURE DU THON EN SARDAIGNE
    Chaque année, des bancs de thons venus de l’Atlantique remontent la Méditerranée pour s’y reproduire. Les habitants de l’île de San Pietro, au Sud-Ouest de la Sardaigne, sont parmi les derniers à tenter de les intercepter à l’aide d’un labyrinthe de filets calés depuis la côte. Mais aujourd’hui le poisson se fait plus rare et cette tradition est en voie d’extinction.

 

  • LE PHENOMENE DRASCOMBE OU L’ART DE NAVIGUER AUTREMENT
    Lassé des aléas du grand large, un plaisancier britannique se retire dans une ferme du Devon et dessine une petite embarcation voile-aviron pour promener sa famille. Alliant simplicité et robustesse, ce canot creux au gréement fractionné a aujourd’hui séduit quelque 5000 adeptes, pères peinards ou aventuriers réunis par un même “esprit Drascombe”.