Par Sandrine Pierrefeu - L’un des derniers quatre-mâts barques cap-horniers de la compagnie Laeisz, les prestigieux « Flying P. Liners », vient d’être sauvé de la démolition et rapatrié à Hambourg, où il avait été construit en 1911. Au terme de sa restauration, le Peking ne naviguera plus, mais le grand voilier aura retrouvé l’allure de sa jeunesse. Retour sur l’histoire de ce seigneur cap-hornier.
L’article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d’une iconographie enrichie.
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