Sommaire de la revue parue le 16 mai 2008 :

  • LA CITE DE LA VOILE ERIC TABARLY A LORIENT

 

  • ESCALE A GÊNES AVEC LES TRAVAILLEURS DU PORT
    Un reportage au long cours sur les nuits et les jours des travailleurs portuaires, chaleureuse confrérie de professionnels asservis à l’incessant va-et-vient des navires. Les mastodontes dictent leur loi et ne pardonnent pas l’erreur.
  • L’ASCENSEUR A BATEAUX DES FONTINETTES
    Sur un canal entre Lys et Aa, près de Saint-Omer, une échelle de cinq écluses est remplacée en 1888 par une cyclopéenne balance hydraulique dont les deux plateaux, mus selon le principe des vases communicants, portent chacun une péniche à flot.
  • LA FASCINATION DES PÔLES : DE CHARCOT A PAUL-EMILE VICTOR
    Alors que l’on célèbre le centenaire de son lancement, voici le récit du voyage du Pourquoi-Pas ? en Antarctique et l’évocation de ses ultimes campagnes au Groenland. Une occasion de montrer la bienveillance de Charcot à l’égard de ses potentiels successeurs, comme Paul-Emile Victor.
  • AGAPE : VERS LE RENOUVEAU DE LA BARQUETTE ?
    Introduite à Marseille par les charpentiers italiens, la barquette, aujourd’hui reconvertie à la plaisance, connaît un certain renouveau, grâce aux restaurations et à quelques constructions, comme celle d’Agapé par le chantier Borg.
  • L’ANNIK, COTRE DU DIBEN
    Un ancien marin de yacht s’était fait construire ce voilier pendant la guerre pour l’armer à la petite pêche. L’auteur, retraité de la marine marchande, raconte toute l’histoire, ainsi que la restauration qu’il a entreprise pour s’offrir le bateau de ses vieux jours.
  • L’ART D’AFFÛTER SES OUTILS

 

  • MIGUEL CALDENTEY, UNE GOELETTE SAUVEE DES EAUX