Par Laurent Damonte - II y a peu de temps, la Marie Félicie, dernière tartane de l'Estaque, a coulé dans le port de Marseille. Est-il vraiment trop tard pour sauver cette belle coque ? Dernier représentant d'une tradition millénaire, n'aurait-elle pas mérité une parcelle des efforts déployés pour la sauvegarde du patrimoine archéologique sur le littoral méditerranéen ? Au moins reste-t-il un homme pour en parler avec amour et honorer sa mémoire.