par Jean-Yves Béquignon - Décrite par le capitaine de frégate qui l’a dirigée entre 2008 et 2010, la manœuvre du Charles de Gaulle ne se révèle pas si différente de celle d’un autre bâtiment. À condition de parvenir à oublier qu’il s’agit du seul porte-avions français et qu’il héberge près de deux mille hommes et quarante avions. Car les marins de « Charlie Golf » n’ont pas le droit à l’erreur.

L’article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d’une iconographie enrichie.