Aussi curieux que cela puisse paraître, étant donné l'isolement des régions où sont construits ces bateaux, on rencontre depuis longtemps des faerings dans des pays fort éloignés de la Norvège. En effet, si les petites embarcations nordiques sont, de tous les types traditionnels européens, ceux qui sont restés le plus proche de leurs origines, ce sont aussi les bateaux qui ont pu connaître la diffusion la plus importante grâce à leur facilité de transport et à la diversité des routes du commerce maritime au départ des pays du Nord.
Réservé aux abonnés
L’exportation des faerings
Publié le 10 janvier 1995
LA SUITE DE CET ARTICLE EST RÉSERVÉE AUX ABONNÉS
Les articles de la même revue
©Tuul and Bruno Morandi/Alamy Banque D’Images
Le canal de Nantes à Brest, une histoire mouvemen...
Par Balthazar Gibiat - Merveille d’ingénierie imaginée il y a deux cents ans, le canal de Nantes à Brest est... Read more
À l’étale de pleine mer, alors que la flottille croise devant Argenton, cap au sud, la tentation est grande d’un crochet pour saluer le phare du Four. On reconnaît, de gauche à droite, Amzer Zo, le plan Montaubin P’tit Gabriel, Seil-tic qui masque Phine, le Wayfarer Whimbrel, le monotype des Pertuis Bijou et le Major Major. © Gwendal Jaffry
Naviguer léger au pays des Abers
Par Gwendal Jaffry - En juin dernier, la flottille de voile-avirons « Naviguer léger » s’est retrouvée dans le Finistère pour une... Read more