Dans la première partie de cet article, les amateurs nous avaient étonnés par la richesse et la diversité de leurs créations. La plupart des projets s'inspiraient de traditions françaises ou étrangères liées aux bateaux de travail ou de plaisance ; d'autres ne devaient leur conception qu'aux ressources de l'imagination. L'inspiration n'a pas non plus fait défaut aux professionnels. Sur ce sujet neuf, où la dictature des modes et du marché ne s'exerce pas, les architectes navals jouissent encore d'une véritable liberté. Bien sûr, leur savoir-faire donne un caractère plus systématiquement abouti à leur projet. Et comme ces architectes travaillent déjà avec des chantiers, le stade du plan est souvent dépassé et des prototypes, ou même de petites séries, ont déjà vu le jour. La crédibilité des projets n'est donc plus à démontrer et d'autres critères de jugement doivent s'appliquer.
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