Les restrictions imposées aux voyages internationaux inspirent la Royal Yachting Association (RYA), qui publie désormais sur son site Internet une série de petites fiches présentant un parcours de découverte pour les embarcations voile-aviron. Ces petits itinéraires sont destinés aux vacanciers n’ayant pu partir en vacances ou ceux désireux de découvrir de nouveaux plans d’eau.

Les « Dinghy Trails » présentent différentes zones de navigations dans tout le Royaume-Uni. Les informations essentielles sont rassemblées sur une carte sur laquelle a été tracé un parcours de balade ponctué d’indications diverses telles que le point de départ et d’arrivée, les zones de pique-nique, la faune locale…

Quelques paragraphes décrivent la zone de navigation et des faits historiques intéressants apparaissent sur une deuxième page au bas de laquelle se trouve un rappel des mesures de sécurité.

Cependant les « Dinghy Trails » ne sont pas des documents nautiques.

La RYA entend poursuivre sur sa lancée et depuis le lancement des « Dinghy Trails » en mars 2021, quinze parcours sont déjà en ligne. Vous pouvez les consulter ici 

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La Finlande en voile-aviron, le Chasse-Marée n° 168

Par Csaba Hanyi – L’été dernier, le second Raid Finlande réunissait, dans le Sud du pays, quatorze bateaux venus de treize nations. Retour sur ces moments de bonheur, à tirer sur le bois mort, ou à louvoyer entre les îles.

Voile-aviron sur le Douro, le Chasse-Marée n°133

Par Win de Bruijn et Gwendal Jaffry – Remonter le Douro à bord de canots voile-aviron, l’ idée était originale et plutôt séduisante. Deux éditions du “raid” ont connu un vif succès en 97 et 98. Outre le fait qu’elle aura permis aux participants de découvrir une région magnifique, cette manifestation aura aussi montré tout l’intérêt des divers bateaux impliqués dans l’aventure. Ayant fait ses preuves au Portugal, la formule est reprise cette année, mais cette fois en Ecosse.

Race to Alaske, le voile-aviron d’aventure, le Chasse-Marée n°300

par Gwendal Jaffry – En 2016, la première participation de Mathieu Bonnier, patron du chantier LiteBoat, à la Race to Alaska (R2AK) nous avait fait découvrir cette épreuve de 750 milles née un an plus tôt aux États-Unis. Et ce fut une révélation. Alors qu’il y a une trentaine d’années, Le Chasse-Marée inventait le « Naviguer autrement » tout en faisant la promotion du voile-aviron, R2AK venait ouvrir de nouveaux horizons. Là où on avait monté une marche en 2014 avec la création du Challenge Naviguer léger – navigation d’une centaine de milles sur quatre jours, en autonomie et sans moteur, entre rias et mer ouverte –, les Américains grimpaient un escalier. Et, quand en 2018, Mathieu Bonnier et Sam Manuard ont conçu le LiteXP pour repartir vers l’Alaska, nous nous devions de les rencontrer… en attendant de voir cette pratique nouvelle, le voile-aviron d’aventure, gagner l’Europe.

Du bon usage des voies-aviron, le Chasse-Marée n°79

Par François Vivier – Constructeur à ses heures, notre ami François Vivier présente ici la conception et la mise au point des trois derniers canots voile-aviron qu’il a dessinés pour son usage personnel et dont “Le Chasse-Marée” propose aujourd’hui les plans. A lire le récit de cette modeste aventure, on pourrait se méprendre sur la qualité de son auteur. Ce polytechnicien, ingénieur du génie maritime, fut longtemps responsable de la direction des études et conceptions aux Chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire; il est aujourd’hui directeur général de “Franship”, société qui gère dix-sept navires pétroliers et vraquiers. Tout cela ne l’a pas empêché de mener une carrière d’architecte naval, qui l’a conduit aussi bien à redessiner de grands bateaux traditionnels comme le lougre de l’Odet “Corentin”, qu’à concevoir des canots voile-aviron comme l’Aven, l’Aber ou Mur. La démarche originale de cet architecte, brièvement évoquée ici, fera bien sûr l’objet d’un article ultérieur.

La Marseillaise : un canot voile-aviron latin, le Chasse-Marée n°89

Créer pour la Méditerranée, un nouveau canot voile-aviron latin, inspiré de la tradition mais résolument moderne, élégant, fin voilier, vivant à la barre, suffisamment simple et économique pour être accessible paux constructeurs amateurs, tel était le difficile projet de John Pendray et du “Chasse-Marée”. Pari tenu aujourd’hui. Les plans de la Marseillaise sont disponibles*. Pour les amateurs, voici le récit de la construction du prototype et des premiers essais sous voiles… de quoi faire naître bien des envies !

Le doryplume : un canot voile-aviron populaire, le Chasse-Marée n°51

La navigation sur bateaux voile-aviron a le vent en poupe ! Une vitalité que l’on peut mesurer à l’engouement suscité par le concours de plans lancé l’an dernier -auquel le Doryplume a participé avec succès — ou par le rassemblement de l’Aven cette année. Les amateurs sont toujours plus nombreux, leurs bateaux mieux préparés et l’on sent qu’il existe aujourd’hui un “noyau dur” que rien ne saurait décourager. Mais Le Chasse-Marée veut faire plus, donner le coup de pouce qui permettra de dépasser le cercle — déjà large — des initiés, en proposant un bateau performant, élégant, plus léger et beaucoup plus économique, qui soit réellement accessible au plus grand nombre. mettrons toute notre force de conviction et le concours de grands moyens médiatiques.