Tous les mariniers de la Seine et de l’Oise ou presque avaient à bord, dans les années 1950, ses portraits de leur bateau, de leur famille. Dans le monde des mariniers, devenu le sien après-guerre et jusqu’à sa mort en 1961, Charles Fiquet n’était connu que sous son surnom de « Radar ». Aujourd’hui ce monde n’est plus, si ce n’est à travers ces images inédites ou presque (CM 303), magnifiquement commentées par un autre humaniste amoureux de la batellerie, le très savant Laurent Roblin.

Mariniers – Charles Fiquet, photographe humaniste Laurent Roblin, Éditions Sutton, 208 p., 25 €