Un tour du monde « à la mémoire
des bateaux qui sont maintenant à l’abri dans le grand chantier du ciel ». Le ton du photographe, qui signe aussi le texte, est assez, disons, lyrique.

Quand les épaves – ou l’arche de Noé, ou le bas mât de misaine – parlent à la première personne, on flirte avec la mièvrerie. C’est mieux quand il documente l’histoire de certains navires, devenus épaves.

 

Stefano Benazzo

Ancre de marine, 290 p., 35 €