Les articles de la revue

Tant que les glaces n’entravent pas la navigation, le Nordik Express reste le principal moyen de communication pour desservir les localités situées sur la rive Nord du Saint-Laurent. Il n’y a pas de route entre Blanc-Sablon et Kegaska, distantes de 350 kilomètres. © Philippe Renault/Hemis Alamy
N°275 Réservé aux abonnés

Nordik Express, le courrier du Saint-Laurent

Par Sandrine Pierrefeu. De la frontière du Labrador aux confins de Québec, un cargo mixte longe chaque semaine la rive... Lire la suite
© Yann Lesacher
N°276 Réservé aux abonnés

Mor Bihan

De Jean Mabire, illustré par Yann Lesacher. Dans les années soixante-dix, Gabriel, Pascal et Christophe, préparateurs occasionnels des bateaux d’Eugène Riguidel... Lire la suite
La lakana, pirogue à balancier sakalava, se distingue notamment par sa taille importante et par sa grande voile triangulaire, gréée sur un mât relativement court et fortement incliné vers l’avant. Bien qu’elles donnent l’impression d’être de forme latine, les voiles de ces pirogues sont bien de type arabe, l’orse-poupe étant toujours frappée un mètre en retrait de la pointe de l’antenne. © Philippe Delnotte
N°276 Réservé aux abonnés

Les pirogues sakalava

Par Philippe Delnott. Les Sakalava forment un peuple qui se répartit sur toute la côte Ouest et Nord-Ouest de Madagascar. Très... Lire la suite
Pêche Açores, canneurs Açores, Thon pêche Açores, bateaux Açores
Sous le bateau, les thons. Les pêcheurs alignés le long de la lisse s’apprêtent à les capturer à l’aide de cannes en bambou. Des Açoriens émigrés aux États-Unis ont emprunté cette technique à des pêcheurs japonais qui escalaient à San Diego à la fin du xixe siècle. Ils l’ont ensuite améliorée et introduite en 1938 dans leur propre archipel. © Romain Chabrol
N°277 Réservé aux abonnés

Avec les canneurs des Açores

Par Romain Chabrol. Au milieu de l’Atlantique, le thon se pêche à la canne et à l’appât vivant. Encore et toujours.... Lire la suite
En 1908, Ernest Seyler – l’un des fils de Georges Seyler, le patriarche de la dynastie – pose avec sa famille et son personnel devant son établissement du Perreux, au pont de Bry, au bord de la Marne. Le constructeur est à gauche, avec son épouse (en noir) et ses trois enfants, l’aîné, Georges, tenant un aviron et son cadet, André, de trois ans, habillé en fille. © François Casalis
N°277 Réservé aux abonnés

Les Seyler, constructeurs parisiens

Par François Casalis. L’histoire de trois générations d’artisans, constructeurs de yoles, de canoës, de dériveurs et de canots à moteur, établis... Lire la suite