Chasse-Marée N° 160

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PARUE EN MAI 2003 Le cabotage Français à bout de souffle Les Goëlettes de Madagascar La Rose des Vents et le Château du Taureau Les naufragés du Dalgonar sauvés par le trois-mâts Loire Pêcheurs du Barcarès Lire la suite

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  • LE CABOTAGE FRANCAIS A BOUT DE SOUFFLE
    En perte de vitesse depuis des décennies, le cabotage français ne cesse de se dégrader : l’Armorique reste le seul caboteur dit « sec » à battre pavillon de l’Hexagone. Une situation qui contraste avec celle de pays voisins ; car dans une perspective de développement durable, le cabotage peut apporter une solution intéressante aux problèmes liés à la saturation du réseau routier. 

  • LES GOËLETTES DE MADAGASCAR
    Introduits au XIX° siècle par un charpentier d’origine bretonne, ces voiliers de charge se sont imposés au pays des boutres et connaissent aujourd’hui un sursaut d’activité en raison de la crise économique qui pénalise les cargos à moteur. 

  • LA ROSE DES VENTS ET LE CHÂTEAU DU TAUREAU
    En 1960, une école de voile s’installe au château du Taureau, forteresse emblématique de la baie de Morlaix. Une section croisière voit bientôt le jour, notamment grâce au don de la Rose des Vents, un yawl sur plans Dervin. Plusieurs centaines de stagiaires feront leurs premières armes à son bord, avant que l’école, en proie à des difficultés financières, ne doive vendre la «Rose». Frans Mœrbeek, son propriétaire depuis vingt ans, n’a pas ménagé ses efforts pour redonner au vieux yawl tout le panache de sa jeunesse. 

  • LES NAUFRAGES DU DALGONAR SAUVES PAR LE TROIS-MÂTS LOIRE
    L’une des pages les plus héroïques du sauvetage en haute mer s’est écrite en 1913 au large de Valparaíso. Au terme d’un suspense éprouvant vécu durant quatre jours par très mauvais temps, vingt-six naufragés du trois-mâts anglais Dalgonar seront recueillis grâce aux remarquables compétences manœuvrières des marins du Loire, l’un des quatre-mâts de la compagnie Bordes. 

  • PÊCHEURS DU BARCARES
    Naguère, cette communauté, établie au Nord-Est de Perpignan, tirait sa subsistance de l’étang de Salses et de la Méditerranée. L’été, les hommes allaient en mer pêcher la sardine à bord de barques catalanes ; l’hiver, à l’abri du cordon littoral, ils armaient de curieuses «betas» à fond plat, pontées à la manière des «sardinals». Jean-Luc Canal a retrouvé la «beta» de sa famille et l’a restaurée. 
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